EY Luxembourg annonce une croissance importante de son chiffre d’affaires de 7,6%…

… soit 178 millions d’euros pour son année fiscale qui s’est clôturée le 30 juin 2016
 
Résultats financiers
EY Luxembourg enregistre un chiffre d’affaires de 178 millions d’euros au 30 juin 2016, soit une croissance de 7,6% par rapport à l’année antérieure, qui affichait un chiffre d’affaires de 165,5 millions d’euros.
Alain Kinsch, Country Managing Partner d’EY Luxembourg, commente : « Nous sommes très fiers d’enregistrer cette année encore, une croissance très satisfaisante de notre chiffre d’affaires, tout à fait consistante par rapport à notre croissance de 8% l’année antérieure. Alors que les entreprises font face à des perturbations sans précédent de leurs modèles d’affaires en raison du rythme et de l’ampleur liés à l’innovation technologique, notre taux de croissance soutenu au cours de ces dernières années est le fruit de la qualité et de la valeur qu’apportent nos professionnels sur le marché. Les investissements consentis en ressources humaines et en nouvelles technologies, y inclus dans notre nouvel environnement de travail, nous ont permis de répondre à ce nouvel environnement dynamique.
Par ailleurs, le changement et la disruption auxquels est confronté le monde d’aujourd’hui font partie intégrante de notre Vision 2020, et représentent, selon nous, une excellente opportunité pour les entreprises de prendre part au changement transformationnel. C’est cette opportunité même qui guide nos actions centrées sur l’innovation, la technologie de pointe et du numérique – et ce au sein de tous nos métiers et industries au Luxembourg – afin d’offrir finalement la technologie et le savoir les plus novateurs à nos clients.
Notre département audit a enregistré cette année une croissance de 10,1%, ouvrant un nouveau chapitre dans une histoire à succès en matière de croissance de référence sur le marché, qui dure depuis plus de sept ans. Cette croissance permet à notre cabinet luxembourgeois de conforter cette année encore sa seconde place de plus grand cabinet d’audit au Luxembourg en termes de chiffre d’affaires. L’avenir de l’audit repose fermement sur une volonté d’axer le service sur la qualité, l’innovation et l’entrepreneuriat, mais également d’investir dans l’analyse des données et la cybersécurité. Notre croissance continue et vigoureuse, cette année encore, témoigne de notre détermination à apporter une juste réponse aux besoins évolutifs des entreprises, des régulateurs et des investisseurs, et ce, en tenant compte des contraintes auxquelles sont soumis les états financiers.
Notre département fiscal a également affiché une croissance robuste de 8,3%. Une demande de la part des acteurs du marché pour plus de transparence au niveau global a marqué en grande partie cette année fiscale. Notre croissance a été stimulée notamment grâce aux services liés aux recommandations base erosion and profit shifting (BEPS) émises par l’OCDE ainsi que nos activités en matière de prix de transfert et une activité transfrontalière accrue. Notre activité People Advisory a, elle aussi, contribué à la croissance du département fiscal en raison d’une demande accrue de la part de nos clients de les accompagner dans leurs problématiques organisationnelles ou celles liées à gestion de la mobilité et de la conformité.
 
Enfin, si notre département conseil avait enregistré une croissance exceptionnelle de plus de 32% l’an passé, cette année fiscale écoulée a été un peu plus difficile, marquée par une diminution du chiffre d’affaires de 7,3%, alors que notre cabinet a continué d’investir dans des secteurs stratégiques, tels que la technologie digitale et la transformation analytique ou liée à l’entreprise plus globalement ».
 
EY Global: résultats financiers
A l’échelle mondiale, EY vient d’annoncer un chiffre d’affaires combiné de 29,6 milliards de dollars pour l’exercice qui s’est clôturé le 30 juin 2016. Cela représente une augmentation de 9 % en comparaison de l’exercice précédent en monnaie nationale. Depuis l’annonce officielle en 2013 de sa Vision 2020, EY a enregistré un fort taux de croissance annuel composé de 9,2%. Le nombre d’employés mondial a augmenté de 9,2% en comparaison de l’exercice 2015 et compte désormais 231.000 collaborateurs. Toutes les lignes de services d’EY ont enregistré une croissance robuste au cours de l’exercice 2016: l’audit a enregistré une croissance de 4,8%; le conseil 13,1%; le département fiscal 9,6% et les services de transaction 14,2%.
Le chiffre d’affaires a augmenté dans les quatre zones géographiques d’EY, à savoir: 9,7% dans la zone Amériques et 7,5% en Europe, au Moyen-Orient, en Inde et en Afrique (EMEIA), 12,5% en Asie-Pacifique et 6,4% au Japon. Il est à noter que les bureaux d’EY situés dans les marchés émergents ont également enregistré une deuxième année consécutive de croissance à deux chiffres atteignant 12,8% à l’échelle mondiale (croissance supérieure donc à celle enregistrée en 2015 qui était de 12,3%) en dépit de conditions économiques toujours difficiles dans les principaux pays émergents.
EY a également enregistré une forte croissance à deux chiffres dans les cinq secteurs d’activité clés suivants : le secteur bancaire et marchés de capitaux ainsi que le secteur de l’assurance. Cette croissance s’explique par une forte demande de services de support en matière de changements réglementaires, de cybersécurité, de transformation numérique et de technologie financière.
Le chiffre d’affaires du secteur technologique résulte d’une forte activité de fusions/ acquisitions, de changements en profondeur liés aux technologies nouvelles et innovantes ainsi qu’un nombre croissant de missions clients supportant l’économie de partage. La croissance du secteur de la santé ainsi que du secteur dédié au gouvernement et au service public a été alimentée par les services de transformation et règlementaires ainsi que par de nouvelles missions dans les domaines du robotics et de l’analyse de données, entre autres.
 
Ressources Humaines
“En septembre 2016, 180 professionnels ont intégré EY Luxembourg et nous envisageons de recruter encore 400 autres collaborateurs au cours de l’année fiscale 2017. Notre cabinet compte désormais 1250 employés de 54 nationalités.
Nous sommes très fiers de maintenir cette année encore un tel niveau de recrutement de professionnels de talent incluant des jeunes diplômés et collaborateurs expérimentés des métiers du conseil, de la fiscalité, des transactions et de l’audit issus des secteurs commercial, industriel et financier ou encore du secteur public », affirme Alain Kinsch.
Olivier Lemaire, People Partner chez EY Luxembourg, explique : « pour son activité d’audit tout d’abord, notre cabinet confirme sa détermination à poursuivre un recrutement sélectif de ressources hautement qualifiées qui, au regard d’une réglementation accrue, lui permettront de pérenniser son rôle essentiel dans la régulation des marchés financiers. Et cette année encore, plus de 100 jeunes auditeurs à l’avenir prometteur, parmi les meilleurs talents en quête d’une carrière à fort potentiel, ont choisi de rejoindre EY Luxembourg pour vivre une expérience unique.
« En ce qui concerne notre activité de conseil fiscal ensuite, notre projet de transformation destiné à répondre à un environnement fiscal mondial en pleine mutation est en bonne voie. Aussi, nous sommes fiers de proposer à nos clients, aux attentes techniquement de plus en plus pointues, l’expertise technique et sectorielle de collaborateurs chevronnés, à même de comprendre les enjeux quotidiens et stratégiques des entreprises et des acteurs économiques de notre pays.
Nous avons par ailleurs pour ambition de continuer à consolider nos investissements au sein de nos départements conseil et transactions, qui constituent une solide plate-forme de croissance pour l’avenir», confie Olivier Lemaire.
En pratique, la transformation de notre profession – que ce soit en audit, conseil, fiscalité ou transaction  – guide notre stratégie de recrutement. Gagner la guerre des talents ne peut se faire que par une compréhension des aspirations de la génération du millénaire, dont la mixité des genres en est une pièce maîtresse. Ainsi, nos 80 Associés et Directeurs Associés ont à cœur de cultiver et faire grandir l’engagement et le sens du volontarisme de nos collaborateurs.
Notre esprit d’entreprenariat au même titre que notre spécialisation marquée par industrie au sein de la firme la plus intégrée dans notre profession, réunissant des professionnels voués à fournir un service exceptionnel à nos clients, constituent la clé de voûte de notre culture d’entreprise et notre ADN.
« Chez EY, nous aspirons à ce que nos collaborateurs, nos équipes, s’épanouissent, se sentent valorisés. Le fait de figurer comme employeur le plus attractif au monde parmi les entreprises de services professionnels et dans le top trois tous secteurs confondus d’après l’étude universelle Universum n’est donc pas un hasard », ajoute Olivier Lemaire.
 
POINTS DE VUE
 
Nouvelles technologies
La technologie « Blockchain » (à laquelle il est parfois fait référence sous le terme Distributed ledger technology or DLT) est en tête des préoccupations des dirigeants d’entreprises. Même si cette technologie en est encore aux prémices de son développement, elle devient incontestablement l’un des sujets les plus brûlants, plus particulièrement dans les services financiers, car elle est susceptible de rationaliser et d’accélérer les processus opérationnels, de protéger l’intégrité des données et de transformer les modèles d’entreprises des institutions. La popularité du blockchain allant en grandissant, davantage de sociétés cherchent à en comprendre les bénéfices et les potentielles applications technologiques. Cette concrétisation présente des défis et des opportunités pour une industrie dont les préoccupations sont la gestion des données, l’efficience opérationnelle, la cybersécurité et la conformité réglementaire. En particulier, les sociétés d’administration d’actifs (« asset servicing ») évaluent et investissent dans des technologies dites « disruptives » à un rythme plus soutenu que prévu. En effet, plus de 1,1 milliard de dollars de capital-risque ont été investis dans le blockchain au cours des cinq dernières années. Néanmoins, une généralisation de cette adoption n’est pas encore à l’ordre du jour et comporte une dimension « visionnaire », et nécessite également des changements profonds, une bonne gestion du risque et des investissements en infrastructures et en effectifs. Des années encore pourront être nécessaires afin de déjouer les pièges et les difficultés mais il n’est pas trop tôt pour initier le processus de développement d’une plate-forme stratégique et de collaboration en vue d’une adoption plus généralisée, processus parfois douloureux dans sa phase initiale. Un nouveau niveau de transparence et de responsabilisation devrait résulter des efforts initiaux consentis et s’avérer être un avantage compétitif. La capture de données dès leur création et leur gestion maîtrisée tout au long de la chaîne de valeur permettra d’enclencher un cycle vertueux d’innovation continue et de changement. La capacité à retracer les transactions en toute sécurité et en toute transparence apporte également un niveau de confiance dans les données. En effet, un réseau de confiance est un prérequis indispensable à l’utilisation du DLT et un moteur essentiel afin d’établir la sécurité des processus de services financiers, il permet de plus grandes efficiences et sert de catalyseur pour soutenir les activités commerciales.
Le DLT peut garantir l’intégrité des données négociées sur les marchés par l’intermédiaire de milliards d’appareils sans implication d’un tiers ni d’un intermédiaire de confiance lors de chaque transaction. Nous pensons qu’un renforcement de la confiance apportée par un tel processus en réseau devrait résulter en des bénéfices significatifs ainsi qu’en des avantages stratégiques à long terme. Dans ce contexte les intermédiaires contribueront à gérer le contrôle des accès pour renforcer la confiance des participants.
EY se positionne comme un partenaire de choix pour accompagner ses clients dans ce nouveau monde numérique. Olivier Maréchal, responsable du département Financial Services Advisory commente : « Nous aidons nos clients à donner un sens à cette révolution numérique. Nous collaborons avec eux sur ses incidences sur leur modèle d’entreprise. Nous les aidons également à développer une meilleure expérience client, à ajuster leurs processus et leurs plateformes technologiques ainsi qu’à changer leur culture et leur organisation ».
Gaël Denis, responsable Fintech chez EY Luxembourg poursuit : « Grâce à sa position de leader dans le secteur des services financiers, le Luxembourg a construit un écosystème Fintech robuste au cours des dernières années. De nombreuses initiatives ont été lancées afin de consolider cette position, plus particulièrement au cours des 12 derniers mois, y incluses d’autres initiatives de groupe relatives par exemple au blockchain ou à PSD2. En outre, Luxembourg devrait être envisagé comme un marché attractif pour les startups souhaitant bénéficier de la présence d’institutions financières. En général, même si les sociétés Fintech doivent encore confirmer les espoirs qui ont été placés en elles par les investisseurs, le Luxembourg est désormais prêt à adapter ses capacités afin de tirer profit des opportunités en matière de Fintech dans de nombreux domaines tels que les paiements numériques, les crypto-devises, la gestion de patrimoine et bien sûr le blockchain.
Notre programme EYnovation va de pair avec nos principes directeurs que sont l’innovation et la performance. Ce programme est destiné à soutenir les start-ups dans leurs plans de croissance tant d’un point de vue technique que commercial ou stratégique et à leur proposer des services spécifiques adaptés à leurs besoins. Plus particulièrement, le programme EYnovation identifie et assiste les entreprises phares de demain. Il constitue l’une des pierres angulaires de notre soutien à la communauté locale, apparaissant simultanément comme l’un des composants de notre stratégie en matière de responsabilité sociétale. Olivier Lemaire, Telecom, Media and Technology Industry Leader chez EY Luxembourg, conclut : « C’est exactement comme cela que notre mission Building a Better Working World prend vie chez EY, tout comme elle stimule l’esprit d’entreprise et d’innovation de nos collaborateurs et de notre entreprise ».
 
Entrepreneuriat
EY Luxembourg a lancé cette année la cinquième édition du programme « Entrepreneur of the Year », qui représente une opportunité unique pour les entrepreneurs établis au Grand-Duché de Luxembourg d’être récompensés pour leur esprit d’entreprise et leur performance exceptionnelle tant au niveau local qu’international.
Le fort potentiel des entrepreneurs constitue un élément incontournable de notre économie. Au cours de ces dernières années, nous avons accompagné des entreprises dynamiques ayant débuté leurs activités en tant que PMEs pour devenir ensuite de grandes multinationales.
En outre, EY a continué d’accompagner les propriétaires d’entreprises familiales dans la transmission de leurs activités à leurs héritiers ou successeurs et de les aider à en assurer la pérennité. Notre engagement à soutenir le développement de modèles d’entreprises performants s’applique particulièrement en matière de financement et de liquidités, aux opérations de refinancement et de restructuration ou bien encore aux possibilités d’apports en capitaux privés ou publics. Yves Even, associé responsable du programme Entrepreneur of the Year (EoY) au sein du département entrepreneuriat/PMEs et entreprises familiales d’EY Luxembourg, rappelle également les éléments qui constituent la clé de voûte de ces modèles d’entreprises, à savoir : « croissance et rentabilité soutenues, planification de transmission d’une génération à l’autre, gestion efficace de de la fiscalité, répartition des risques ainsi que les aspects culturels et liés à la responsabilité ».
EY Luxembourg a constitué, au cours des 15 dernières années, une équipe expérimentée disposant des connaissances approfondies indispensables pour répondre aux besoins spécifiques des entreprises familiales et des PMEs. Cette équipe multidisciplinaire, active dans les métiers d’audit, de fiscalité et de conseil, est composée notamment d’associés luxembourgeois ayant acquis de solides connaissances culturelles et techniques du marché local et qui travaillent également en étroite collaboration avec le centre de compétence d’EY dédié aux PMEs et aux entreprises familiales.
 
Private Equity
 
Grâce à la transposition de la directive AIFM en loi nationale et la profonde modernisation de la société en commandite il y a deux ans, Luxembourg a confirmé son engagement à se positionner comme une place de choix en matière de fonds private equity. Ces deux initiatives se sont avérées être un avantage majeur pour la place financière et ses nombreuses sociétés en commandite spéciales (SCSp) et AIFM introduits au Luxembourg. Au travers du Fonds d’Investissement Alternatif Réservé (FIAR), le Luxembourg a mis à disposition un nouveau type de réglementation et se trouve tout à fait en mesure d’offrir un centre de gestion de fonds de capitaux d’investissement onshore de première classe. Bien évidemment, le Brexit suscite de la part de maisons de private equity une adaptation de leurs plateformes, de leurs modèles et de leurs opérations, voire une relocalisation de leurs activités de base. Au regard des nombreux pays se positionnant consécutivement au Brexit, il va sans dire que consistance et planification financière constituent des facteurs déterminants dans cette équation à laquelle les maisons de private equity devront faire face.
« Le département private equity d’EY a connu encore une année de succès avec une croissance de 25% de son chiffre d’affaires. Ce succès ininterrompu au cours de ces dernières années a propulsé le département private equity au rang d’industrie la plus importante en termes de chiffre d’affaires et d’employés pour notre cabinet basé au Luxembourg. Alors que notre rôle de pionnier aux premières années d’existence du private equity a résolument contribué à donner à notre cabinet une image de marque et une position de leader dans cette industrie, notre engagement continu envers elle, au même titre que notre détermination à élaborer et mettre en place une stratégie de développement centrée sur ce secteur, n’ont fait que renforcer notre positionnement et maintenir cette image de marque unique », confie Olivier Coekelbergs, Private Equity Leader chez EY Luxembourg.
 
Fiscalité

L’environnement fiscal international continue de traverser la plus profonde transformation de son histoire, notamment avec l’application des plans d’action BEPS par l’OCDE au sein de l’Union européenne et dans le monde, mais encore les initiatives de la part de l’Union européenne pour plus de transparence fiscale et un reporting accru, et ce en luttant simultanément contre les aides d’Etat illégales et l’évitement fiscal. Toutes ces actions continuent de redessiner l’environnement fiscal du futur.
Dans ce contexte de pression internationale accrue, le Luxembourg est appelé à redéfinir sa stratégie de politique budgétaire à plus long terme en privilégiant la transparence conformément aux nouvelles normes fiscales internationales. Au regard de ce nouveau paysage fiscal international, le Luxembourg pourra profiter de la réforme fiscale annoncée pour 2017 pour moderniser davantage le cadre budgétaire, afin de s’assurer que le Luxembourg puisse maintenir également son niveau d’attractivité pour les investisseurs internationaux et sa compétitivité par rapport à d’autres centres financiers.
« Le gouvernement a adopté une stratégie destinée à réduire progressivement le taux d’imposition sur les sociétés, et ce afin de compenser l’élargissement de l’assiette fiscale, qui risque de survenir suite aux efforts d’harmonisation à l’échelle de l’Union européenne et de l’OCDE au cours des années à venir », confie Marc Schmitz, Tax Leader auprès d’EY Luxembourg.
Dans le cadre d’un tel changement associé à une incertitude permanente, le département fiscal d’EY fait face à une demande plus importante que jamais de la part de ses clients, qui requièrent de la part du cabinet de conseil plus d’accompagnement au regard de la complexité croissante des règles fiscales ayant un impact direct sur leurs affaires. Ce département a continué sur la voie de la croissance, qui provient, pour une bonne partie, de conseil fiscal transfrontalier pour le compte d’entreprises multinationales, de banques et de fonds d’investissement régulés et non régulés utilisant le Luxembourg comme plate-forme. L’attractivité continue du Luxembourg pour les fonds d’investissement alternatifs (private equity et real estate) est aussi incontestable.
Les principaux services ayant soutenu notre solide croissance ont été l’accompagnement en matière de (re)structurations, de prix de transfert, de politique et de litiges fiscaux, de fusions et d’acquisitions, d’obligations déclaratives, de gestion des risques fiscaux, ainsi que l’assistance fiscale pour les travailleurs mobiles.
 
Communiqué de presse EY

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