Avoir le sens des responsabilités
Depuis 1965, date de sa création, la recette de DACO S.A. reste inchangée. Vendre, aux privées et aux communes, du matériel de jardinage, d’entretien d’espaces verts et d’espaces communaux. Sa valeur ajoutée? Un service après-vente poussé à son maximum pour assurer à ses clients une utilisation de son matériel en toute sérénité.
Fondée en 1965, DACO S.A. propose à ses clients, professionnels comme particuliers, une large gamme de matériel de jardinage, d’entretien d’espaces verts et d’espaces communaux qui peut aller de la petite machine électrique jusqu’au gros camion. «On ne peut presque pas faire plus que ça», assure Guy Lesch, administrateur délégué de la société.
Dans le magasin de la zone industrielle Hamm, à Luxembourg, une multitude d’outils et d’engins électriques de marques, telles que Kubota, Aebi ou encore Zaugg, se suivent mais, bien qu’au premier coup d’œil on pourrait croire le contraire, ne se ressemblent pas. Tailles, contenances, performances, là encore, le choix est immense. «Beaucoup pensent que nous ne vendons que de très gros tracteurs comme ceux que roulent les paysans. Ce n’est pas le cas. Nous avons des tracteurs de toutes sortes dont les compteurs peuvent afficher des puissances allant de 12 à 140 chevaux pour nos plus gros modèles». Il en va de même pour les balayeuses, en principe très prisées par les services administratifs, elles peuvent aussi satisfaire les plus petits espaces avec des contenances allant de 0,8m3 à 7m3.
Pourtant, malgré ces produits à leur destination, les clients privés restent timides et ne représentent que 25 à 30% de la clientèle de DACO, face aux jardiniers, paysagistes et autres services étatiques qui, eux, représentent jusqu’à 70% de la clientèle de l’enseigne au logo rouge et blanc.
RAV: responsabilité après-vente
Si les professionnels se tournent, sans hésitation, vers DACO S.A. pour se fournir en matériel, c’est parce qu’ils savent que la société met à leur disposition un choix large, une équipe de 17 personnes compétentes et qualifiées pour les conseiller, et un service après-vente quasiment irréprochable.
Ce dernier service est une composante essentielle pour DACO S.A. qui, dès le début de l’aventure, a mis l’accent sur cet accompagnement du client. «Si l’on veut vendre une machine d’une certaine qualité, on doit aussi pouvoir offrir un service après-vente de qualité».
Un atout d’autant plus important qu’aujourd’hui, les machines deviennent de plus en plus compliquées et nécessitent, certes, des réparations mécaniques, mais aussi électroniques. «De nos jours, un chef d’atelier travaille avec une clef, mais aussi avec un ordinateur», confirme Guy Lesch qui nous explique alors que, sur 17 employés, 10 sont affectés au service après-vente. Ils suivent des formations spéciales continues afin d’être à la pointe des connaissances et de pouvoir manier aussi habilement un outil qu’un ordinateur. «Certaines machines ne sont plus composées que de mécaniques, mais intègrent également des pistes informatique et des programmes spéciaux.»
«Il peut y avoir tellement de questions, tellement de petits problèmes après l’achat d’un outil, que l’on doit être là. Il s’agit d’avoir un certain sens des responsabilités», estime Guy Lesch qui parle alors d’une “responsabilité“ après-vente plus que d’un “service“ après-vente.