Romain Schneider a participé au 60e anniversaire de la signature du traité instituant l’Union économique du Benelux

Romain Schneider a participé au 60e anniversaire de la signature du traité instituant l’Union économique du Benelux (05.06.2018)
Communiqué par: ministère des Affaires étrangères et européennes / Direction de la coopération au développement et de l’action humanitaire

Le 5 juin 2018, le ministre de la Coopération et de l’Action humanitaire, Romain Schneider, a représenté le gouvernement luxembourgeois aux festivités organisées à l’occasion du 60e anniversaire de la signature du traité instituant l’Union économique du Benelux auquel ont participé de nombreuses hautes personnalités internationales. Sur invitation de S.M. le roi des Belges, le ministre Schneider a participé au déjeuner au palais royal de Bruxelles en présence de S.A.R. le Grand-Duc et S.M. le roi des Pays-Bas, ainsi que des ministres des Affaires étrangères belge et néerlandais, MM. Didier Reynders et Stef Blok.

Le déjeuner fut suivi par une visite de courtoisie au secrétariat-général du Benelux et une séance solennelle au palais des Beaux-Arts. En présence de S.A.R le Grand-Duc et aux côtés des responsables européens, le ministre Romain Schneider a prononcé un discours lors duquel il a mis en exergue que «le Benelux découle des liens historiques étroits qui unissent la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg et qui nous ont conduits à faire des choix identiques, bien au-delà de la coopération économique». «Le Benelux est la plus ancienne structure de coopération régionale institutionnalisée au sein de l’Union européenne et peut s’appuyer sur une longue tradition de coopération, et d’expériences communes», a fait remarquer Romain Schneider, tout en soulignant que la raison d’être de cette coopération réside surtout dans sa volonté de dépasser les clivages, les divergences et les mentalités.

Le ministre a également rappelé que «le Benelux reste une maison ouverte, un lieu de rencontre et de collaboration qui permet d’aborder ensemble les nombreux défis et opportunités futurs, dans l’intérêt des trois pays, de ses citoyens et de la construction européenne».